Ohé ! Ohé ! (rire) Le choc des esprits fait son entrée en librairie aujourd'hui. Je quitte demain pour Trois-Rivières, ma ville natale. :-) J'ai hâte de vous faire part des commentaires de mes premiers acheteurs. Je vous reviens donc en début de semaine.
À bientôt !
jeudi 29 mars 2012
lundi 19 mars 2012
Lancement et promotions
Vous êtes invités à venir célébrer avec moi la sortie de mon troisième tome le 20 avril prochain au Café le Signet, 295 boulevard Sainte-Rose (angle boulevard Labelle) à Sainte-Rose, Laval, de 17 h 30 à 19 h 30. Je suis tellement heureuse de pouvoir faire mon lancement dans le quartier où j’habite depuis presque trente ans. Le café est un endroit super sympathique où les amoureux des livres se rassemblent pour bouquiner et pianoter sur leur portable tout en mangeant une bouchée ou en sirotant un espresso. Faites-moi part de votre désir d’assister à la fête en confirmant votre présence par courriel à : francine@revemarie.com. Pendant que je vous lirai un extrait du tome 3, vin et bouchées vous seront offerts gracieusement. Vous pourrez également vous procurer mes trois tomes sur place si vous le désirez.
Un concours a été lancé ce matin pour les abonnés de Facebook. Il se terminera le 20 avril, le jour du lancement. En cliquant « J’aime » sur la page de RêveMarie, les participants peuvent gagner le bijou que porte RêveMarie dans Le choc des esprits. C’est une création unique de la talentueuse joaillière Carine Dubreuil-Normand. Voici le lien pour son site : http://carcjoaillerie.info/ C’est quoi ce bijou ? Tut ! Tut ! À vous de le découvrir en lisant le tome 3…
Pour ceux qui participeront aux événements littéraires ce printemps, soit le Salon du livre de Trois-Rivières et celui de Québec, ils courent la chance de remporter le tome de leur choix de la trilogie RêveMarie en me laissant leur adresse courriel durant leur visite. Pour ceux qui sont déjà passés me voir au Salon du livre de l’Outaouais, expédiez-moi vos courriels pour mériter ce même prix. Le Choc des esprits sera disponible en librairie aux alentours du 28 mars. Des séances de signatures sont prévues dans différentes librairies de ma région. Je vous confirmerai les dates dès qu’elles me seront données.
Difficile de ne pas avoir le cœur qui bat et le sourire aux lèvres à l’approche de toutes ces belles rencontres. Même le printemps s'est pointé plus tôt pour être de la fête !
Un concours a été lancé ce matin pour les abonnés de Facebook. Il se terminera le 20 avril, le jour du lancement. En cliquant « J’aime » sur la page de RêveMarie, les participants peuvent gagner le bijou que porte RêveMarie dans Le choc des esprits. C’est une création unique de la talentueuse joaillière Carine Dubreuil-Normand. Voici le lien pour son site : http://carcjoaillerie.info/ C’est quoi ce bijou ? Tut ! Tut ! À vous de le découvrir en lisant le tome 3…
Pour ceux qui participeront aux événements littéraires ce printemps, soit le Salon du livre de Trois-Rivières et celui de Québec, ils courent la chance de remporter le tome de leur choix de la trilogie RêveMarie en me laissant leur adresse courriel durant leur visite. Pour ceux qui sont déjà passés me voir au Salon du livre de l’Outaouais, expédiez-moi vos courriels pour mériter ce même prix. Le Choc des esprits sera disponible en librairie aux alentours du 28 mars. Des séances de signatures sont prévues dans différentes librairies de ma région. Je vous confirmerai les dates dès qu’elles me seront données.
Difficile de ne pas avoir le cœur qui bat et le sourire aux lèvres à l’approche de toutes ces belles rencontres. Même le printemps s'est pointé plus tôt pour être de la fête !
jeudi 8 mars 2012
Chapeau !
En cette journée de la femme, j’ai
fait ce matin un rapide saut dans le temps pour constater le chemin parcouru
par les générations successives de ma famille.
Ma grand-mère mesurant à peine 5
pieds et pesant autour de 90 lbs - vous voyez le portrait - a mis au monde dix enfants, dont neuf ont survécu. Sans
qu’elle n’ait un mot à dire, Jeanne Godin, la joyeuse citadine des années vingt,
a été catapultée en pleine campagne dans une bicoque isolée de tout, sans
électricité, sans eau courante et sans installations sanitaires. Pour faire
vivre sa famille, mon grand-père partait le dimanche pour aller travailler à la
Wabasso à Trois-Rivières et ne
revenait que le vendredi. Ouf ! Grand-maman, je pense à toi aujourd’hui.
Ma mère, comme presque toutes les
femmes de sa génération, a été privée d’une éducation. À 50 ans, elle a eu le
courage de retourner sur les bancs d’école afin d’obtenir son diplôme d’enseignante.
Je n’oublierai jamais la fierté dans ses yeux lorsqu’elle a reçu ce fameux papier
attestant le droit d’exercer sa profession. Une profession qu’elle a pratiquée
jusqu’à sa retraite. Les enfants - des adultes maintenant - auxquels Jeannine
Cartier a enseigné me parlent encore d’elle avec affection. Maman, je pense à
toi aujourd’hui.
Ma fille a vécu dans une maison
confortable et a complété des études universitaires. Je pourrais m’arrêter là
et dire que la vie de Janie Collin est beaucoup plus facile en comparaison de
celle qu’ont connue ses aïeules, mais ce n’est pas le cas. Conjuguer famille et
emploi, surtout si vous travaillez dans le milieu hospitalier, représente
un défi à relever tous les jours de la semaine. Ma fille, je pense à toi aujourd’hui.
Je souhaite une merveilleuse
journée à toutes les femmes de ce monde et de l’autre…
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